LES JEUX OLYMPIQUES sur ECHASSES : Déesses d'Athènes aux Anneaux à la Mode Parisienne J.O. 2024 !

Les déesses d'Olympie sont de retour à Paris pour les Jeux, comme une fois tous les cent ans, et  en 2024 on en prend une mythique habitude pour 2124 !

En plus entre nous, elles ont sans doute de tous temps porté la culotte et donc le maillot pour toutes les disciplines les plus légendaires et spectaculaires...

Déjà en Olympie, parmi les trucs faits maison dans leur harmonie de costumes arc-en ciel, elles rappellent aux mortels qu'elles supportent pas moins que la voûte céleste, pendant que Zeus, le dieu des dieux est en train de faire un tiercé de Titans à la taverne du coin...

Un arc-en-ciel universel et sans-âge, une déambulation multicolore sur échasses qui rapprochera les enfants bruns et blonds des cheveux gris en serpentant dans les rues du quartier dans une chamarrée farandole unissant toutes les couleurs du Monde d'Akhenaton à Benetton....

Et bien sûr l'essentiel sera de participer sous une pluie de confettis, loin de la grisaille aspirée par les divinités grecques, comme dans un banquet de sensations et conversations métaphysiques à la sauce athénienne au diapason des sonorités d'un chariot musical jouant toutes les musiques du monde en mode festif et sportif.

Nos divinités de l'Olympe en cavale parisienne sont-elles vraiment si magiques ( comme Paris du temps de M'Bape qui passait son temps à shooter ses ballons dans des lucarnes voire des cerceaux? Bien sûr que si quand elles s'allument à la tombée du  crépuscule!

Les déesses sur échasses de l'Olympe vont ensuite tenter de gommer les ténèbres pour nous entraîner au bout de la nuit populaire. 

Car comme disaient les Images autour de minuit:: 

"J'aime cette fille

Sur talons-aiguilles qui se déhanche

Ça met un peu de chaleur au fond de mon cœur"

Et parmi nos échassières au grand coeur et  aux anneaux prêtes à faire revenir à Paris les Jeux de l'Amour planétaire et du hasard des sports mondialisés chronométrés...

On reconnaîtra sans doute quelques Reines de beauté (morale) échappées du Panthéon des Idées pour un monde meilleur et (enfin) intelligent..

Et dans les premiers rôles, toujours autour d'un chariot musical et sous les confettis : 

on fera un triomphe grec tout autant aux sportifs qu'à, en rouge de chez rougeoyante, la déesse Aphrodite, "née de l'écume", mère d'Eros, et surtout déesse de la beauté, de l'Amour, de la séduction  et du plaisir, vous savez tout ce qui reste encore miraculeusement gratuit entre humains  de nos jours...

Etaussi parmi nos divinités olympiques encore plus aériennes  sur échasses, cette fois encore au dessus du septième ciel, on fera un big-up  à la déesse en jaune,  Atnéna, au CV plus long que l'oeuvre de Platon : celle qui est juste déesse de l'inetelligence, de la sagesse, de la civilisation et protectrice de la ville d'Athènes. pas le temps de faire du tricot...

Et pour terminer le tiercé de divinités que joue tous les jours Zeus à la taverne du coin, comme déjà narré, il ya aussi par exemple en bleu d'azur dans notre équipe d'echassieres mythiques, Héra, la reine des Dieux ( donc des Jeux), des cieux ( donc des échasses), mais aussi de la famille et des Rois. Sacré agenda.

Et pour si besoin compléter la Compagnie des 7 demoiselles d'Olympie aux Jeux de Paris : voici enfin Artémis la chasseresse lunaire,  et aussi Déméter, déesse de la Terre et des moissons, Hestia gardienne du foyer et de la maison. et puis bien sûr  Iris, la messagère des Dieux et plus spécialement du Big-boss Zeus terminant son amphore d'Ouzo toujours à la taverne du coin, Iris qui fait encore aujourd'hui la liaison entre la Terre et le Ciel, entre l'Olympe et les hommes.

Elle aurait inventé la télévision, internet puis TikTok. Et de source sûre , c'est toujours elle, Iris, qui branche elle-même le chronomètre ( de marque Kronos) pour la finale du 100 mètres masculin olympique le dimanche 4 août à 21H50 au Stade de France.